Prix de la traduction Inalco-Vo/Vf
Lancé en 2019, en partenariat avec le Festival Vo-Vf, ce prix, doté à hauteur de 2500 euros, vise à mettre en avant la qualité du travail d’un traducteur ou d’une traductrice ainsi que la richesse de littératures parfois encore peu connues du grand public car souvent moins diffusées. Sont éligibles à ce concours les textes en prose (nouvelles ou romans), publiés au cours des trois années précédant la remise du prix. Les ouvrages traduits par des membres ou des étudiants de l’Inalco ne peuvent être présentés.
Par cette initiative, l’Inalco souhaite mettre en lumière son expertise en matière de traduction, tout comme la reconnaissance du travail du traducteur et de son éditeur dans le dialogue entre les littératures du monde.
Le Prix de la traduction de l’Inalco est remis lors du Festival Vo/Vf qui se tient chaque année à Gif-sur-Yvette.
Consulter le règlement du Prix de la traduction
Règlement du Prix de la traduction Inalco-Vo/Vf (111.35 Ko, .pdf)
Prix de la traduction 2019-2024
Prix de la traduction 2019-2024
2024 : Marie-Cécile Fauvin pour sa traduction du grec du roman Heureux qui dit son nom de Sotiris Dimitriou, publié aux éditions Quidam en 2022.
2023 : Raphaëlle Pache pour sa traduction du russe du roman Le dernier Afghan d'Alexei Ivanov, publié aux éditions Rivages/Noir en 2021.
2022 : Annie Montaut pour sa traduction du hindi du roman Ret samadhi. Au-delà de la frontière de Geetanjali Shree, publié aux éditions des femmes-Antoinette Fouque en 2020.
2021 : Sabrina Nouri-Moosa pour sa traduction du persan d'Afghanistan du roman La mort et son frère de Khorsraw Mani, publié aux éditions Actes Sud en 2020.
2020 : Chloé Billon pour sa traduction du croate du roman Les turbines du Titanic de Robert Perišić, publié aux éditions Gaïa en 2019.
2019 : Maud Mabillard pour sa traduction du russe du roman Zouleikha ouvre les yeux de Gouzel Iakhina, publié aux éditions Noir sur Blanc en 2017.